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Blois : contre l’antisémitisme les partis politiques ne mobilisent pas.

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Blois : contre l'antisémitisme les partis politiques ne mobilisent pas. dans Actualité cimg-blois-avec-gricourt-300x230

CIMG Blois avec GricourtMarc Gricourt et Pierre Boisseau à Blois aux côté des représentants de « Milli Görüs » en décembre 2015. Une confédération islamiste radicale d’où est issu l’agresseur d’Alain Finkelkraut.
A la suite de plusieurs actes commis en marge de manifestations des « Gilets jaunes » à Paris, un certains nombre de partis politiques ont pris l’initiative d’organiser des manifestations contre l’antisémitisme un peu partout en France le 19 février.

L’agression contre la philosophe Alain Finkelkraut samedi dernier a renforcé encore l’indignation des Français contre ces comportements, qui auraient dû entraîner une réaction populaire de grande ampleur.
Malheureusement le sens donné à cet appel n’a pas favorisé la mobilisation espérée.
Comme le souligne Alain Finkelkraut lui-même, les partis politiques signataires de cet appel ce trompent de cible. Chacun pour des raisons diverses préférant évoqué « le bon vieil antisémitisme » c’est à dire venant d’un extrême-droite fantasmée, alors que selon le philosophe, la menace vient du « puissant courant antisémite issu du salafisme et de son terreau, les banlieues. »
Une réalité que les partis signataires refusent de voir, car elle va à l’encontre de leur analyse politique et surtout les renvoie à leurs propres responsabilités.
Ainsi Carole Delga, présidente PS de la Région Occitanie, inaugurait en 2018 une mosquée salafiste en présence d’un imam salafiste, Mohamed Tatai, surpris sur une vidéo en train de prononcer des propos antisémites devant ses fidèles. Ce qui l’empêchai nullement hier de manifester « contre l’antisémitisme ».
Refusant de cautionner cette mascarade, les élus et les cadres du Rassemblement national de Haute-Garonne ont préféré rendre hommage hier soir à l’ensemble de nos compatriotes juifs victimes de l’islamisme devant l’école Ozar Hatorah de Toulouse, sur les lieux de la tuerie commise par Mohamed Merah.
Mais à côté de la gauche qui essaie de se refaire une santé, il y aussi M. Macron, ses ministres et son parti fantôme qui cherchent toujours à discréditer le mouvement des « Gilets jaunes » par une série d’amalgames avec les violences et désormais l’antisémitisme. En pointant eux aussi une mythique « extrême droite » qui serait à l’origine de ces débordement.
Sauf que ces violences qui émaillent régulièrement la fin des manifestations sont le fait d’une extrême gauche dont les groupes sont pourtant connus depuis longtemps, mais dont les exactions semblent après tout rendre service au pouvoir en place, hier sous Sarközy, aujourd’hui sous Macron.
Quand à l’agression contre Alain Finkelkraut – déjà insulté et expulsé par les gauchistes de « Nuit debout » en 2016, l’auteur principal des injures proférée samedi dernier a été identifié par les vidéos, il est « connu des services de police », amis curieusement, contrairement à l’ancien boxeur Christophe Dettinger dont le nom fut lâché en moins d’une demi-heure, l’agresseur reste anonyme.
Pourquoi ? Il n’aurait pas le bon profil ?
Selon un information de Sylvain Boulouque, présenté comme un historien et spécialiste des mouvements sociaux, TF1 avait présente l’individu en question comme étant Cheikh Sidaty Lô « un proche de Dieudonné« , information que la chaîne du groupe Bouygues a été contrainte de démentir, mais on voit bien la manoeuvre.
Le véritable agresseur, originaire de Mulhouse et converti à l’islam, fréquente une mosquée alsacienne appartenant à la confédération Milli Gorus, dont nous avons déjà parlé ici, puisque le maire de Blois, Marc Gricourt ne voit aucun inconvénient à les rencontrer et à laisser s’installer une mosquée et une école coranique relevant de cette mouvance dans sa propre ville. Surnommé «Souleyman» ou «Slim», cet individu a déjà effectué plusieurs actions à l’étranger avec l’association des Palestiniens de Mulhouse. 
Voilà pourquoi, comme nous l’expliquions dès vendredi dernier, il nous était difficile de nous associer à ce rassemblement, connaissant les arrières-pensées des organisateurs.
Nul doute qu’un certain nombre de Blésois sincères s’y sont rendus pour condamner l’antisémitisme, mais beaucoup ont hésité à le faire en raison de l’ambiguïté du message.
Résultat moins de 500 personnes place de la Résistance selon la Nouvelle République (on en compte guère plus de 200 sur la photo), bien loin des 15 000 personnes estimées par la même journal lors du rassemblement après les attentats de janvier 2015 contre Charlie hebdo et l’hyper cacher.
Et déjà à l’époque il ne fallait surtout pas désigner les responsables…


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